#ChallengeAZ P comme... PORCHER Silvain
Mardi 17 Juin 2014
Silvain, Célestin PORCHER, né le 19 mars 1809, à Mont-Près-Chambord, était vigneron. Tout comme son père, Silvain PORCHER, né en 1774 à Mont-Près-Chambord. Mais aussi comme son grand-père, Silvain PORCHER, lui aussi.
Et son fils, Silvain PORCHER, né en 1833, toujours à Mont-Près-Chambord, sera aussi vigneron, pour ne pas changer….
Quel casse-tête pour moi à ce moment-là. Allez savoir de quel Silvain on parle.
Et encore ! Heureusement que mon ancêtre est Désiré PORCHER, né en 1865 non pas son frère, Silvain, né en 1858.
Cinq générations de Silvain PORCHER. Mais pas plus visiblement. Silvain PORCHER, cinquième du nom a peut-être décidé de bousculer les traditions. Car il s’agit bien de tradition.
Et nous, les généalogistes nous savons que cette tradition n’est pas réservée aux familles nobles. Même si, au Moyen-Âge, elle était bien plus courantes chez ces familles.
Pourquoi cette tradition ? Je ne sais pas vraiment mais j’ai découvert que, en ce qui concerne les familles nobles, c’était une impression d’ancienneté infinie. Difficile de décompter le nombre de génération lorsque l’on porte le même prénom de père en fils.
Ce qui explique pourquoi François II était le fils de François I et le père de François III…
Cette tradition a été répété jusqu’au milieu du 19éme siècle, ce qui n’est pas si loin finalement.
Aujourd’hui il est très rare qu’une personne porte le prénom de son père ou de sa mère, on le glisse plus facilement en deuxième prénom. Ce qui facilite parfois les choses j’avoue.
Remarquez que j’ai lu quelque chose d’assez étonnant en faisant mes recherches. Beaucoup pensent qu’il est néfaste, pour un enfant, de lui donner le prénom de son père et/ou grand-père.
Personnellement, au-delà du fait que certains prénoms sont ensuite qualifiés de « Vieillot », je ne vois pas trop en quoi il serait néfaste d’appeler son fils comme son père. Ca ne le sera pas plus que de l’appeler Paris, parce que c’est dans cette ville qu’il a été conçu…
Mais c’est juste mon point de vue, bien sûr.
Mon ancêtre Silvain, c’est appelé ainsi car c’était le nom de son père et de son grand-père, c’est une sorte d’héritage.
Aujourd’hui, on appelle son fils ou sa fille comme la star la plus célèbre du moment, c’est une autre tradition et il y n’est plus question d’héritage cette fois…
Et son fils, Silvain PORCHER, né en 1833, toujours à Mont-Près-Chambord, sera aussi vigneron, pour ne pas changer….
Quel casse-tête pour moi à ce moment-là. Allez savoir de quel Silvain on parle.
Et encore ! Heureusement que mon ancêtre est Désiré PORCHER, né en 1865 non pas son frère, Silvain, né en 1858.
Cinq générations de Silvain PORCHER. Mais pas plus visiblement. Silvain PORCHER, cinquième du nom a peut-être décidé de bousculer les traditions. Car il s’agit bien de tradition.
Et nous, les généalogistes nous savons que cette tradition n’est pas réservée aux familles nobles. Même si, au Moyen-Âge, elle était bien plus courantes chez ces familles.
Pourquoi cette tradition ? Je ne sais pas vraiment mais j’ai découvert que, en ce qui concerne les familles nobles, c’était une impression d’ancienneté infinie. Difficile de décompter le nombre de génération lorsque l’on porte le même prénom de père en fils.
Ce qui explique pourquoi François II était le fils de François I et le père de François III…
Cette tradition a été répété jusqu’au milieu du 19éme siècle, ce qui n’est pas si loin finalement.
Aujourd’hui il est très rare qu’une personne porte le prénom de son père ou de sa mère, on le glisse plus facilement en deuxième prénom. Ce qui facilite parfois les choses j’avoue.
Remarquez que j’ai lu quelque chose d’assez étonnant en faisant mes recherches. Beaucoup pensent qu’il est néfaste, pour un enfant, de lui donner le prénom de son père et/ou grand-père.
Personnellement, au-delà du fait que certains prénoms sont ensuite qualifiés de « Vieillot », je ne vois pas trop en quoi il serait néfaste d’appeler son fils comme son père. Ca ne le sera pas plus que de l’appeler Paris, parce que c’est dans cette ville qu’il a été conçu…
Mais c’est juste mon point de vue, bien sûr.
Mon ancêtre Silvain, c’est appelé ainsi car c’était le nom de son père et de son grand-père, c’est une sorte d’héritage.
Aujourd’hui, on appelle son fils ou sa fille comme la star la plus célèbre du moment, c’est une autre tradition et il y n’est plus question d’héritage cette fois…
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