Challenge AZ 2015 X comme X métiers, de tailleur d’habits à cabaretier ou l’étr
Samedi 27 Juin 2015
Louis, Jacques Moulin est né le 5 mai 1809 au Val-David, il est mon Sosa N°36. Il s’est marié le 18 mai 1831 dans la même commune avec Marie-Madeleine Freulard. Ensemble ils ont deux enfants, Marie-Cézarine et Louis, Michel.
Si beaucoup de mes ancêtres ont « bougés » professionnellement, Louis est celui qui a eu la plus grande « évolution ».
Au moment de son mariage Louis est dit tailleur d’habits, il coupe et confectionne des vêtements pour homme.
En 1846, à la naissance de son fils, il est dit être ouvrier en coutil, ce qui, je pense, revient un peu au métier de tailleur d’habits.
Sur le cadastre du Val-David, on remarque qu’en 1848, Louis a fait une augmentation de construction sur les parcelles 942 et 943. Il y est même précisé : maison et magasin.
C’est probablement à cette période qu’il devient cabaretier. Je ne peux pas encore dire comment il en est arrivé à ce statut ni si il n’a pas exerçait les deux professions en même temps.
J’imagine qu’il a acheté plutôt que de faire construire tout en agrandissant plus tard. Peut-être même vivait-il ici depuis plusieurs années.
Devenir cabaretier était peut-être un rêve qui le poursuivait depuis son enfance…
En 1854, au mariage de sa fille, il est toujours cabaretier mais en 1868, au mariage de son fils, il est désigné comme marchand épicier.
Quelle différence ? Le cabaretier est principalement restaurateur, il vend du vin au détail et donne à manger contre de l’argent.
Le marchand épicier est tout simplement un épicier, au moins dans le cas de Louis car on sait qu’il a possédé un commerce.
A son décès, le 7 décembre 1886, il n’est plus ni épicier, ni cabaretier mais simplement rentier. Il vit donc de ces revenus.
Son fils, Louis, Michel, reprend sa place puisqu’en 1871, à la naissance de son fils Louis, Auguste, il est dit marchand épicier. L’épicerie reste donc dans la famille, Louis va même prolonger le bar/épicerie par une salle de danse en 1880.
L’histoire de l’épicerie Moulin ne va pas s’arrêter à la deuxième génération. Après le décès de Louis, Michel en 1905, l’épicerie sera tenue par mon arrière-grand-père Eugène Hervieux, son gendre.
Puis, en 1907, elle deviendra la propriété de Louis, Auguste Moulin, fils de Louis, Michel.
Cependant, il n’y a visiblement jamais travaillé, ou alors elle a été aussitôt revendue car la même année, c’est une certaine Angèle Egasse qui y travaillait.
Plusieurs propriétaires se succéderont jusqu’à la fin des années 1990 ou l’épicerie sera détruite dans un incendie.
Si beaucoup de mes ancêtres ont « bougés » professionnellement, Louis est celui qui a eu la plus grande « évolution ».
Au moment de son mariage Louis est dit tailleur d’habits, il coupe et confectionne des vêtements pour homme.
En 1846, à la naissance de son fils, il est dit être ouvrier en coutil, ce qui, je pense, revient un peu au métier de tailleur d’habits.
Sur le cadastre du Val-David, on remarque qu’en 1848, Louis a fait une augmentation de construction sur les parcelles 942 et 943. Il y est même précisé : maison et magasin.
C’est probablement à cette période qu’il devient cabaretier. Je ne peux pas encore dire comment il en est arrivé à ce statut ni si il n’a pas exerçait les deux professions en même temps.
J’imagine qu’il a acheté plutôt que de faire construire tout en agrandissant plus tard. Peut-être même vivait-il ici depuis plusieurs années.
Devenir cabaretier était peut-être un rêve qui le poursuivait depuis son enfance…
En 1854, au mariage de sa fille, il est toujours cabaretier mais en 1868, au mariage de son fils, il est désigné comme marchand épicier.
Quelle différence ? Le cabaretier est principalement restaurateur, il vend du vin au détail et donne à manger contre de l’argent.
Le marchand épicier est tout simplement un épicier, au moins dans le cas de Louis car on sait qu’il a possédé un commerce.
A son décès, le 7 décembre 1886, il n’est plus ni épicier, ni cabaretier mais simplement rentier. Il vit donc de ces revenus.
Son fils, Louis, Michel, reprend sa place puisqu’en 1871, à la naissance de son fils Louis, Auguste, il est dit marchand épicier. L’épicerie reste donc dans la famille, Louis va même prolonger le bar/épicerie par une salle de danse en 1880.
L’histoire de l’épicerie Moulin ne va pas s’arrêter à la deuxième génération. Après le décès de Louis, Michel en 1905, l’épicerie sera tenue par mon arrière-grand-père Eugène Hervieux, son gendre.
Puis, en 1907, elle deviendra la propriété de Louis, Auguste Moulin, fils de Louis, Michel.
Cependant, il n’y a visiblement jamais travaillé, ou alors elle a été aussitôt revendue car la même année, c’est une certaine Angèle Egasse qui y travaillait.
Plusieurs propriétaires se succéderont jusqu’à la fin des années 1990 ou l’épicerie sera détruite dans un incendie.
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