Challenge AZ 2015 F comme Facteur
Samedi 6 Juin 2015
Antoine Trubert, né le 17 juillet 1757 et décédé le 27 février 1847 était un de mes ancêtres facteur.
Son métier, exerçait fin du 18e et début du 19e siècle m’a beaucoup attirée. Imaginons un peu comment Antoine distribuait son courrier.
Facteur tient son origine du latin factum, celui qui fait. Le terme apparait vers 1652 lorsque que naît le premier bureau de Poste à Paris.
Dans les mêmes années, Renouard de Villayer créé un service de « petite Poste » qui sert à collecter et à distribuer des lettres dans Paris. Ainsi né le facteur à lettres.
Antoine devient donc facteur. Il effectue ses tournées à pied, le facteur n’utilisera le vélo que vers 1893, tous les deux jours environs. Les progrès de l’alphabétisation contribuent à l’augmentation des échanges de lettre et il a de plus en plus de travail.
Antoine a probablement connu les étrennes comme nos facteurs d’aujourd’hui car la pratique est ancienne et daterait de 1780.
Il représentait un symbole fort de la République, il faisait le lien entre plusieurs individus et représentait l’unité du territoire.
Antoine et ses collègues n’étaient pas dix milles au début du 19e siècle, alors qu’aujourd’hui les facteurs sont environs cent milles. Les tournées sont devenues quotidiennes et les facteurs à pied ne représentent plus que 11% de la profession.
Enfin, alors qu’Antoine n’a jamais connu de factrice, aujourd’hui leur effectif comprend près de la moitié de femmes.
Son métier, exerçait fin du 18e et début du 19e siècle m’a beaucoup attirée. Imaginons un peu comment Antoine distribuait son courrier.
Facteur tient son origine du latin factum, celui qui fait. Le terme apparait vers 1652 lorsque que naît le premier bureau de Poste à Paris.
Dans les mêmes années, Renouard de Villayer créé un service de « petite Poste » qui sert à collecter et à distribuer des lettres dans Paris. Ainsi né le facteur à lettres.
Antoine devient donc facteur. Il effectue ses tournées à pied, le facteur n’utilisera le vélo que vers 1893, tous les deux jours environs. Les progrès de l’alphabétisation contribuent à l’augmentation des échanges de lettre et il a de plus en plus de travail.
Antoine a probablement connu les étrennes comme nos facteurs d’aujourd’hui car la pratique est ancienne et daterait de 1780.
Il représentait un symbole fort de la République, il faisait le lien entre plusieurs individus et représentait l’unité du territoire.
Antoine et ses collègues n’étaient pas dix milles au début du 19e siècle, alors qu’aujourd’hui les facteurs sont environs cent milles. Les tournées sont devenues quotidiennes et les facteurs à pied ne représentent plus que 11% de la profession.
Enfin, alors qu’Antoine n’a jamais connu de factrice, aujourd’hui leur effectif comprend près de la moitié de femmes.
Partagez sur les réseaux sociaux
Catégorie
Autres publications pouvant vous intéresser :
Commentaires :
Laisser un commentaire
Aucun commentaire n'a été laissé pour le moment... Soyez le premier !
