Comme tous, lorsque je lis un acte, je visualise bien sur les signatures qui suivent. Ainsi j’ai l’impression d’apprendre quelque chose de plus sur mes ancêtres, quelque chose de plus personnel. Lors de mes recherches j’ai trouvée ce document de la Revue française de Généalogie : La revue française de généalogie Je retiens que si on savait lire, on ne savait pas pour autant écrire. Et si certains signés, il ne savait pas pour autant écrire (sait signer mais ne sai...
Lire cet articleJe n’ai plus aucun ancêtres encore vivants, ma grand-mère paternel, fut la dernière à nous quitter le 6 décembre 2006. Pourtant je continue à leurs parler et parfois ils me répondent….Si, si, ils me répondent enfin presque… Comme tous généalogistes, il m’arrive d’être bloquée. D’hésiter lorsqu’un couple appelle deux de ses enfants par les mêmes prénoms. Et j’avoue que ce genre de situation m’énerve… Alo...
Lire cet articleMon ancêtre, Jean MEUSNIER, Sosa 272, avait un frère, Louis, Nicolas, MEUSNIER, plus âgé de 3 ans. Au cours de mes recherches, j’ai pu reconstituée une partie de sa vie, que je trouve assez étonnante. Louis est né le 1er février 1754, dans la paroisse du Bosc Roger sur Eure, aujourd’hui le Plessis Hébert. Il est le deuxième enfant de Nicolas MOUNIER et de Marie, Nicole LE ROUX. Il se mariera avec Margueritte TASSEL, probablement fin 1725 et ensemble ils auront 16 enfants. Et chose étrange...
Lire cet articleNous sommes le 5 avril 1904, à Saint-Soupplets, commune de Seine et Marne. Mr Masse, Maire et officier publique de l’état-civil, est en train de rédiger l’acte de naissance d’un certain Albert, Georges LAINE et je peux affirmer avec certitude, qu’il avait la tête vraiment ailleurs. Voyez par vous-même… Non, non, il ne s’agit pas de la rature, dans la marge de gauche, concernant le jour de la naissance. Ce qui a retenu mon attention, c’est plutôt l’année, au début de...
Lire cet articleMon arrière-grand-mère, Sosa n°9, a toujours retenue mon attention. D’abord parce que je l’ai toujours trouvée très jolie, je trouve que son visage renvoie une image sympathique et je l’imagine très gentille et très douce. Mais aussi parce que mon arrière-grand-père, Eugène Hervieux, en parle dans son carnet de guerre et je m’imagine alors cette femme, patiente et courageuse, qui attendait que son mari revienne de la guerre. Photo: famille Hervieux Mais ce qui retient mon attention, c&r...
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